Jean-Philippe Courtis étudie la direction d’orchestre à l’école Normale supérieure de Musique de Paris, puis obtient un premier prix de chant au Conservatoire d‘Amiens et un premier prix de hautbois de la ville de Paris et poursuit ses études en musicologie à la Sorbonne.
Il entre au Conservatoire National Supérieur de Paris (CNSM) où il obtient ses premiers prix de chant et d’art lyrique. Jean-Philippe Courtis rentre alors à l’école de chant de l’Opéra de Paris, lors de sa création, puis fait ses débuts au Festival d’Aix en Provence.
Dès lors, il est invité dans la plupart des théâtres français et étrangers : à Lyon, dans Pelléas et Mélisande, dirigé par John Eliot Gardiner et Rodrigue et Chimène avec kent Nagano(réouverture de l’Opéra), à Montpellier dans les Huguenots de Meyerbeer, ouverture du Corum…à Genève, pour Jeanne au Bûcher d’Arthur Honegger, Louise de Gustave Charpentier et Benvenuto Cellini d’Hector Berlioz.
Il remplace au pied levé Ruggiero Raimondi dans la création mondiale de la Forêt, opéra de Rolf Liebermann au Grand Théâtre de Genève où il obtient un vif succès. Sa carrière le mène notamment à Cologne pour Pelléas et Mélisande, mis en scène par Harry Kupfer et dirigé par James Conlon, opéra qu’il chante également à Vienne, sous la direction de Claudio Abbado, mis en scène par Antoine Vitez, puis au Staatsoper de Berlin et à la Fenice.
Pour l’ouverture de l’Opéra Bastille, il chante Narbal dans la production des Troyens de Berlioz, puis Balducci dans Benvenuto Cellini, sous la direction de Myung-Whung Chung ; à Amsterdam, Thoas dans Iphigénie en Tauride, de Christophe Willibad Gluck, le Bailli dans Werther, à Lisbonne de nouveau Les troyens, à Palerme Esclarmonde de Jules Massenet, sous la direction de Gavazzeni, à Salzbourg Jeanne au Bûcher de Honegger, sous la direction de Seiji Ozawa, ou à Houston dans Roméo et Juliette de Charles Gounod.
Jean-Philippe Courtis étudie la direction d’orchestre à l’école Normale supérieure de Musique de Paris, puis obtient un premier prix de chant au Conservatoire d‘Amiens et un premier prix de hautbois de la ville de Paris et poursuit ses études en musicologie à la Sorbonne.
Il entre au Conservatoire National Supérieur de Paris (CNSM) où il obtient ses premiers prix de chant et d’art lyrique. Jean-Philippe Courtis rentre alors à l’école de chant de l’Opéra de Paris, lors de sa création, puis fait ses débuts au Festival d’Aix en Provence.
Dès lors, il est invité dans la plupart des théâtres français et étrangers : à Lyon, dans Pelléas et Mélisande, dirigé par John Eliot Gardiner et Rodrigue et Chimène avec kent Nagano(réouverture de l’Opéra), à Montpellier dans les Huguenots de Meyerbeer, ouverture du Corum…à Genève, pour Jeanne au Bûcher d’Arthur Honegger, Louise de Gustave Charpentier et Benvenuto Cellini d’Hector Berlioz.
Il remplace au pied levé Ruggiero Raimondi dans la création mondiale de la Forêt, opéra de Rolf Liebermann au Grand Théâtre de Genève où il obtient un vif succès. Sa carrière le mène notamment à Cologne pour Pelléas et Mélisande, mis en scène par Harry Kupfer et dirigé par James Conlon, opéra qu’il chante également à Vienne, sous la direction de Claudio Abbado, mis en scène par Antoine Vitez, puis au Staatsoper de Berlin et à la Fenice.
Pour l’ouverture de l’Opéra Bastille, il chante Narbal dans la production des Troyens de Berlioz, puis Balducci dans Benvenuto Cellini, sous la direction de Myung-Whung Chung ; à Amsterdam, Thoas dans Iphigénie en Tauride, de Christophe Willibad Gluck, le Bailli dans Werther, à Lisbonne de nouveau Les troyens, à Palerme Esclarmonde de Jules Massenet, sous la direction de Gavazzeni, à Salzbourg Jeanne au Bûcher de Honegger, sous la direction de Seiji Ozawa, ou à Houston dans Roméo et Juliette de Charles Gounod.