C’est un aventurier… Depuis 40 ans, il fait partie de notre monde, de notre famille. D’une manière ou d’une autre : il laisse de côté ses propres disques pour écrire des chansons pour les autres, badine dans des livres-disques, s’épanche dans les formats plus longs des romans ou dans des cases dessinées, innove encore avec une formule piano-voix… Il ne part jamais vraiment très loin, mais suffisamment pour nous manquer. Alors quand il ressurgit en formation à tendance pop, on a l’impression qu’il sort son premier disque depuis longtemps.   Tout a commencé en 2015, quand il a joué son disque Métropolitain au Cent-Quatre à Paris, avec un groupe d’un instant emmené par Tahiti Boy (alias David Sztanke). Il a regoûté à la scène en groupe pour se familiariser à nouveau avec le frisson primal, la joie du jeu sans filet, sur le tapis vert du public. Il n’en faut pas plus pour réveiller un songwriter. C’est ainsi qu’est née « La grande illusion ».   Ses nouvelles chansons, celui que l’on appellera à vie l’ex-chanteur de Starshooter, les avaient certainement dans la brume d’un coin de tête. Pour lui, Tahiti Boy et son escouade d’aventuriers (Denis Teste, Didier Perrin, David Aknin et Sylvain Fétis), mais aussi le pianiste/organiste Marc Haussmann, auront été des serruriers, des déclencheurs d’envie, des sculpteurs sonores qui donnent aux chansons leur saveur. Et le fruit de la collaboration est incontestable : La grande illusion est le meilleur album de Kent depuis au moins… vingt ans.
  C’est un aventurier… Depuis 40 ans, il fait partie de notre monde, de notre famille. D’une manière ou d’une autre : il laisse de côté ses propres disques pour écrire des chansons pour les autres, badine dans des livres-disques, s’épanche dans les formats plus longs des romans ou dans des cases dessinées, innove encore avec une formule piano-voix… Il ne part jamais vraiment très loin, mais suffisamment pour nous manquer. Alors quand il ressurgit en formation à tendance pop, on a l’impression qu’il sort son premier disque depuis longtemps.   Tout a commencé en 2015, quand il a joué son disque Métropolitain au Cent-Quatre à Paris, avec un groupe d’un instant emmené par Tahiti Boy (alias David Sztanke). Il a regoûté à la scène en groupe pour se familiariser à nouveau avec le frisson primal, la joie du jeu sans filet, sur le tapis vert du public. Il n’en faut pas plus pour réveiller un songwriter. C’est ainsi qu’est née « La grande illusion ».   Ses nouvelles chansons, celui que l’on appellera à vie l’ex-chanteur de Starshooter, les avaient certainement dans la brume d’un coin de tête. Pour lui, Tahiti Boy et son escouade d’aventuriers (Denis Teste, Didier Perrin, David Aknin et Sylvain Fétis), mais aussi le pianiste/organiste Marc Haussmann, auront été des serruriers, des déclencheurs d’envie, des sculpteurs sonores qui donnent aux chansons leur saveur. Et le fruit de la collaboration est incontestable : La grande illusion est le meilleur album de Kent depuis au moins… vingt ans.
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Kent
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