作词:Arthur Teboul
作曲:Arthur Teboul,Clement Doumic,Raphael De Pressigny,Sebastien Wolf
所属专辑:L’oiseleur
歌词
@migu music@
Sari d'Orcino - Feu! Chatterton
Written by:Arthur Teboul/Sébastien Wolf/Antoine Wilson/Clément Doumic/Raphaël de Pressigny
Pour voir sari d'orcino
Nous roulons toujours le long de la mer
Comme un grand banc de poisson
Le vent tiédissant me file entre les doigts
Juliette avait mis sa robe orangée
Gorgée du soleil cueilli ce matin
Juliette avait mis là sa robe orangée
Gorgée de soleil
Le ruisseau est plein de tes rires
Je me baigne dedans
Quelle heure est-il où atterrir
Le ruisseau est plein de tes rires
Je me baigne dedans
Tu te portes comme un charme un pendentif
Abricot géant pomelo j'ai mordu
A tous les fruits de ton verger
J'ai dit qui es tu
Puis j'ai pris ton corps nu
Il avait un goût de melon
Alors le matin s'est levé sur nos corps nus
Il faisait un petit peu froid
Toi ta première ce fut toi qui dit
C'est l'heure où on revêt
Le manteau de pudeur quand coulait
Le péché
Juliette fit le tour de l'endroit
Puis elle filme un morceau du panorama
Dans sa robe baigné de soleil
Filent mes doigts comme le vent tiédissant
Juliette a remis sa robe orangée
Gorgée du soleil accueilli ce matin
Juliette a remis là sa robe orangée
Gorgée du soleil
Le ruisseau est plein de tes rires
Je me baigne dedans
Quelle heure est-il où atterrir
Le ruisseau est plein de tes rires
Je me baigne dedans
Tu te portes comme un charme un pendentif
Re-mangerons-nous le fruit du hasard
Cette pomme étrange qui affame quand on la mange
Adieu adieu verger
Abandonnées nos pâles odeurs de figuiers qui est celle de l'été
Adieu adieu verger
Re-mangerons-nous le fruit du hasard
Cette pomme étrange qui affame quand on la mange
Abandonnerons nous encore nos pas à l'odeur de figuiers qui est celle de l'été
Adieu adieu verger adieu
L'angoisse pénétra comme un corps extérieur
Nous lasse les charmes de mille pierres
Alors apparu changé en peine ce vieux mou de calcaire
Adieu adieu verger adieu
Adieu verger adieu
Adieu verger adieu
Adieu verger adieu
Re-mangerons-nous le fruit du hasard
Cette pomme étrange qui affame quand on la mange
Abandonnerons nous encore nos pas à l'odeur de figuiers qui est celle de l'été
Adieu adieu verger adieu
Adieu verger
L'angoisse pénétra comme un corps extérieur
Nous lasse les charmes de mille pierres
Alors apparu changé en peine ce vieux mou de calcaire
Adieu adieu verger adieu
Adieu verger adieu
Adieu verger adieu
Adieu verger adieu
Adieu verger adieu
展开