歌词
Le pays d'où l'on ne revient pas - Kent
作词:Kent Cokenstock
作曲:Kent Cokenstock
Y'avait tes jambes à grimper aux buildings
Dans cette ville qui se barrait en couilles
Veste en faux cuir les deux mains dans les fouilles
Tu musardais reluquant les vitrines
Regard en biais le pouls dans un shaker
Je suis passé près de toi invisible
Tout en moi jouait la corde sensible
Tout sauf une idée têtue dans mon cœur
Les parapluies les larmes sur les murs
Et mon futur au crédit de l'ennui
Sans que tu saches je t'ai alors promis
Que je t'aim'rais ma chérie sois en sûre
Je t'aimerais si je rate le coche
Si aussi loin que me porte mes ailes
Je n'entrevois pas d'échappée plus belle
Que tes jambes pour une vie moins moche
Je voudrais partir un jour
Au pays d'où l'on ne revient pas
Changer le cours d'un parcours
Qui s'égare dans mon agenda
J'aim'rais découvrir là bas
Au pays d'où l'on ne revient pas
La rassurante évidence
De n'être pas mort déjà
Vois tu ma belle les promesses de lune
Dans ces vitrines à la gloire de l'instant
Les poses de magazines pour conquérants
Le collagène pour séduire la fortune
Je n'en veux plus dommage pour tes jambes
Comme un bonheur qui me prend par la queue
Mon cœur se serre en desserrant le nœud
D'un lien possible avant qu'il ne me pende
Je voudrais partir à temps
Au pays d'où l'on ne revient pas
Voir des soleils au couchant
Parfum zamal et senteur combava
J'aim'rais dégoter là bas
Au pays d'où l'on ne revient pas
Un remède à l'impatience
De n'être pas mort déjà
Je voudrais partir ce soir
Au pays d'où l'on ne revient pas
Une île en forme d'espoir
Lovée autour d'une caldera
J'aim'rais apprendre là bas
Au pays d'où l'on ne revient pas
Que je peux vivre deux fois
Avant d'être mort déjà
Y'avait tes jambes à grimper aux buildings
Tu musardais reluquant les vitrines
展开