Odette

作词:Claude Nougaro

作曲:Claude Nougaro,Maurice Vander

所属专辑:Les 50 Plus Belles Chansons

歌词

@migu music@

Odette - Claude Nougaro

Written by:Maurice Vander/Claude Nougaro

Par les lourds cheveux noirs crépitant de violettes

Entre ses doigts ardents il recueillait ta tête

Attirant vers ses yeux

Ton regard inondant

Toujours luisaient en lui ce front ce

Grain ces lèvres

Doucement ciselés par une chair orfèvre

Où rayonnait soudain le diadème des dents il croyait ce

Bébé bientôt quadragénaire

Qu'un mot d'ordre des nuits une loi planétaire

Avaient croisé vos vies comme on tresse l'osier

Et brûlant dans tes bras adorables brasiers

Il baisait le cœur du mystère

À minuit dans un bar oasis de ses dunes

Il avait ressenti comme un rayon de lune

Se poser sur son front tatoué de tourments

Cherchant d'où lui venait la curieuse caresse

Derrière le piano où jouait aron bridgers

Il avait vu la femme au visage éléphant

Au whisky il n'est rien qui soit inconcevable d'un geste

Encore sûr s'asseyant à sa table il demanda abrupt est

Ce que je suis beau

La beauté la laideur formaient ses grands bobos

Et le temps renversa son sable

Issue d'un orient aux clartés fabuleuses dans nos quartiers latins

Tu te sentais frileuse parfois l'homme possède une bonne chaleur

Dans sa chambre ce fut ta première venue et la

Glace éclairée admira l'inconnue

Et les draps de son lit hissèrent tes couleurs il

Y eut d'autres nuits et d'autres jours qui passent

Les ages discordants l'étrangeté des races ne t'empêchèrent pas étudiante d'aimer

Ce petit homme noir par ta voix désarmé

Et trouvant sous ta main sa place

Avec son air verni arriva le mariage car il faut

Qu'un matin les amants s'engrillagent

Dans un duo certain de s'enlacer au temps

Une tête assoiffée remplaça l'autre tête

Plus lourde qu'allégée par un travail poète

Et la porte eut le bruit qu'il faisait en sortant

Ton sommeil eut l'odeur de ses fuites nocturnes

Où pâlissait déjà le beau rayon de lune

Ton visage étoilé se ternit peu à peu

Puis il reflamboya déployant ses cheveux habité d'une autre fortune

L'homme crie longuement quand jalousie le tord

Il sanglote il hurle que l'univers a tort

Il s'arrache le cœur son cœur criblé de dettes

Il t'aimait

Il t'aimait

Odette

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