Souvenirs

作词:Oxmo Puccino

作曲:eric sean,Oxmo Puccino

所属专辑:L'amour Est Mort

歌词

@migu music@

Souvenirs - Oxmo Puccino

Quand on vit quoi que ce soit de bien à deux

Imaginer que tout s'arrête

Une petite panique peut remettre les idées en place

Mais quand tout est beau c'est sujet tabou

Cette nuit, je revois les endroits où on s'est connu

Les petites disputes pour la taille de tes jupes

Les repas partagés, chuuttt...

J'écoute les ziks sur lesquelles on s'est couché ensemble

Une pensée triste, et il me semble

Qu'on ne s'est pas aimé comme il faut ou en même temps

Je te répétais sans cesse : tu me fais pleurer

Tu me disais : attends.

Donc en attendant, notre cordon ombilical fut rompu

Ce fut sûrement dû à tes fautes

A mes erreurs commises, puis admises

C'est malheureux

Une bise tout de même, après tout on s'est aimé

Mais maintenant c'est fini, naisse un fait suffisant

On joue les malins, on se plaint de la lassitude

Puis un jour, la solitude rejoins l'habitude

Refrain

Ne regrettez pas d'avoir été ami, de s'être aimé un peu

D'avoir connu l'unité, même si c'est fini

Ce qui tient debout c'est tous ces souvenirs

Y'a que les souvenirs qui tiennent debout

Tous témoignaient de notre amitié

Chaque nuit devant les portes de Night-club

Les secrets partagés au fil des âges

Les visages ont changé, sans songer au pire

Jusqu'à ce jour injuste où l'un de nous a failli

Après, c'est sûr qu'il fallait pas

A force de n'en faire qu'à sa tête on s'en rend compte trop tard

Et admettre, quoi

La fierté est un mal de l'être

Aussi un mal des lettres mal assemblées

Comment communiquer ? Vois comme on est niqué

Le lait est une source d'ennui public

Ce qu'il s'est passé entre nous

C'est que nous n'étions pas si proche que ça

Qu'est-ce que c'est que ça ?

Tendre la main aux amis sans fermer les doigts

Y perdre le bras...

Refrain

Il est mort

T'es pas d'accord, et bien profite

Et si mes mots te touchent, tu te discrédites

Te remémore encore et ça te remémore sans ressusciter

Dans mes propos, pas de métaphore

Qui n'est pas bouleversé d'observer des adversaires

Qui autrefois chantaient en cœur joyeux anniversaire

Vaut mieux penser aux batailles qu'on a gagnées ou perdues

Nie, chaque amitié est unique

Je verse de la liqueur en mémoire de nos souvenirs

C'est l'ivresse des souvenirs qui tient debout...

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