歌词
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Je suis de celles (Live) - Bénabar (Bruno Nicolini)
Written by:Benabar
Tiens qu'est ce que tu fais là
C'est moi c'est nathalie
Quoi tu me reconnais pas
Mais si
On é tait ensemble au lycé e
C'est vrai j'ai changé
J'ai des enfants un mari
Bah quoi t'as l'air surpris
J'é tais pas destiné e
A une vie bien rangé e
J'é tais perdue
Mon mari m'a trouvé e
J'é tais de celles
Qui disent jamais non
Les marie couche toi là
Don't on oublie le nom
J'é tais pas la jolie
Moi j'é tais sa copine
Celle qu'on voit à peine
Qu'on appelle machine
J'avais deux ans de plus
Peutê tre deux ans de trop
Et j'aimais les garç ons
Peutê tre un peu trop
Bien sû r vous aviez eu
Des dizaines de conquê tes
Que personnes n'avaient vues
Toujours pendant les fê tes
Pour beaucoup d'entre vous
Je suis la premiè re fois
De celles qui comptent
Mais pas tant queça
Je n'étais pas de celles
A qui l'on fait la cour
Moi j'étais de celles
Qui sont déjàd'accord
Vous veniez chez moi
Mais dès le lendemain
Vous refusiez en public
De me tenir la main
Quand vous m'embrassiez
A l'abri des regards
Je savais pourquoi
Pour pas qu'on puisse nous voir
Alors je fermais les yeux
A m'en fendre les paupières
Pendant que pour guetter
Vous les gardiez ouverts
Je me répétais
Faut pas que je m'attache
Vous pensiez
Il faut pas queça se sache
Mais une fois dans mes bras
Vos murmures essoufflés
C'estàmoi rien qu'àmoi
Qu'ilsétaient destinés
Enlacée contre vous
A respirer vos cheveux
Je le sais je l'affirme
Vous m'aimiez un peu
Certaines tombent amoureuses
C'est purça lesélève
Moi je tombais amoureuse
Comme on tombe d'une chaise
Et gonflés de l'avoir fait
Vous donniez conférence
Une souris qu'on dissèque
Mon corps pour la science
Je nourrissais
Vos blagues de caserne
Que vous pensiez viriles
Petits hommes des cavernes
D'avoir pour moi
Un seul mot de tendresse
Vous apparaissait
Comme la pire des faiblesses
Vous les fiersàbras
Vous parliez en experts
Oubliant qu'dans mes bras
Vous faisiez moins les fiers
Et les autres filles
Perfides petites saintes
M'auraient tondue les cheveux
A une autreépoque
Celles qui ont l'habitude
Qu'on les cajole
Ignorent la solitude
Que rien ne console
Vous veniez chez moi
Mais dès le lendemain
Vous refusiez en public
De me tenir la main
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