Si le quatuor affiche une bluffante alchimie, c’est d’abord parce que son parcours prend la forme d’une histoire de famille. Xavier et Vincent, les deux frères et Mathieu et Yan, leurs cousins, ont grandi avec l’amour des harmonies vocales qu’ils entendaient chez les Beatles ou Crosby, Stills, Nash & Young. Chanter à plusieurs, en harmonie, est devenu pour eux une seconde nature. Et avoir fait leurs armes dans le métro ou dans des bars, où ils reprenaient des classiques de la pop anglo-saxonne, de la soul (Marvin Gaye, Otis Redding) ou du reggae (Bob Marley) leur a permis d’acquérir la cohésion vocale qui rend aujourd’hui Gush unique, capable d’interpréter avec la même ferveur un morceau a capella ou en configuration électrique. Quand leurs quatre voix se rejoignent, quelque chose de magique, proche des good vibrations célébrées par les Beach Boys, se diffuse dans l’air.
Mais Gush n’a rien d’un groupe tourné vers le passé. Emportés par l’audace de la jeunesse, ses quatre membres font fructifier leur héritage musical et créent leur propre mythologie. Imaginez que les Kings Of Leon fusionnent avec les électrons libres de TV On The Radio, Beck ou les chantres de la pop anglaise sixties de The Last Shadow Puppets… vous aurez une idée (très approximative) de ce qui vous attend, un groupe totalement libéré qui aime les mélodies fondantes que l’on reprend en chœur mais aussi le groove chaloupant qui fait remuer les hanches. Ce groupe polyglotte et imaginatif se nourrit de l’énergie du rock’n’roll pour innover, surprendre et réjouir son auditoire, tantôt par un vent de légèreté et un souffle joyeux, tantôt avec mélancolie.
Bref, un vrai geyser de pop kaléidoscopique.
Si le quatuor affiche une bluffante alchimie, c’est d’abord parce que son parcours prend la forme d’une histoire de famille. Xavier et Vincent, les deux frères et Mathieu et Yan, leurs cousins, ont grandi avec l’amour des harmonies vocales qu’ils entendaient chez les Beatles ou Crosby, Stills, Nash & Young. Chanter à plusieurs, en harmonie, est devenu pour eux une seconde nature. Et avoir fait leurs armes dans le métro ou dans des bars, où ils reprenaient des classiques de la pop anglo-saxonne, de la soul (Marvin Gaye, Otis Redding) ou du reggae (Bob Marley) leur a permis d’acquérir la cohésion vocale qui rend aujourd’hui Gush unique, capable d’interpréter avec la même ferveur un morceau a capella ou en configuration électrique. Quand leurs quatre voix se rejoignent, quelque chose de magique, proche des good vibrations célébrées par les Beach Boys, se diffuse dans l’air.
Mais Gush n’a rien d’un groupe tourné vers le passé. Emportés par l’audace de la jeunesse, ses quatre membres font fructifier leur héritage musical et créent leur propre mythologie. Imaginez que les Kings Of Leon fusionnent avec les électrons libres de TV On The Radio, Beck ou les chantres de la pop anglaise sixties de The Last Shadow Puppets… vous aurez une idée (très approximative) de ce qui vous attend, un groupe totalement libéré qui aime les mélodies fondantes que l’on reprend en chœur mais aussi le groove chaloupant qui fait remuer les hanches. Ce groupe polyglotte et imaginatif se nourrit de l’énergie du rock’n’roll pour innover, surprendre et réjouir son auditoire, tantôt par un vent de légèreté et un souffle joyeux, tantôt avec mélancolie.
Bref, un vrai geyser de pop kaléidoscopique.